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Selon nos informations, le Directeur Général de la Santé et une dizaine de Présidents de l'APIC, DNF, ACT, etc. seraient sur le point de déposer plainte pour "mise en danger d'autrui et exposition aux risques mortels" contre leurs géniteurs. La plainte des victimes se fonde sur des études récentes de l'INSERM démontrant sans équivoque qu'un unique rapport sexuel non protégé suffit à augmenter de 100% le risque mortel de l'être vivant ainsi engendré quel que soit son niveau intellectuel et sa moralité. Les fonds obtenus en réparation seront consacrés au financement des associations de victimes du spasme reproducteur et à la production de spots TV représentants le coït, sur la banquette arrière d'une Dauphine, de criminels des années 60 avouant qu'ils ne savaient pas.